L’univers de David Hockney en grand format : de Bradford à la Normandie.
Dès les premières salles, la rétrospective nous transporte aux débuts de Hockney, entre Bradford et Londres, où l’artiste explore l’intimité familiale avec Portrait of My Father (1955). Ce tableau, bien que modeste en dimensions (50.8 x 40.6 cm), révèle une profonde sensibilité, captant avec une touche délicate et vibrante le visage de son père.
Puis, c’est la lumière de la Californie qui prend le relais avec deux pièces iconiques :
Avec 220 for 2020, David Hockney prouve que son art ne cesse d’évoluer. Cette collection, réalisée sur iPad et imprimée en grand format, célèbre la nature normande à travers les saisons. Dans la galerie 5, l’installation monumentale de 27th March 2020, No. 1 (364,1 x 521,4 cm) enveloppe le spectateur dans une symphonie chromatique où les verts éclatants côtoient les cieux vibrants.
L’exposition révèle aussi l’influence de maîtres tels que Van Gogh, Cézanne et Picasso, notamment dans une salle où le visiteur est invité à déambuler entre références classiques et réinterprétations contemporaines.
David Hockney confie : « Cette exposition est la plus grande que j’ai jamais eue. Certaines de mes toutes dernières peintures y seront présentées. Ça va être bien, je crois. »
En quittant la dernière salle, dédiée à ses créations londoniennes récentes, on ne peut qu’être frappé par la force d’un artiste toujours en quête de renouvellement, au fil du temps et des technologies.
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