Imaginées en hommage à la passion du couturier-fondateur pour les astres, les nouvelles créations horlogères Dior VIII Montaigne Clair de Lune se déclinent en trois modèles, chacun édité à quatre-vingt-huit exemplaires. Découvrez leurs secrets de confection.

De sa jeunesse à Granville jusque dans ses ateliers à Paris, Christian Dior ne cessera de s’en remettre aux signes du destin et aux conseils de sa voyante, madame Delahaye. Tout au long de sa vie, il conservera des fétiches en tout genre, à l’image de l’étoile à cinq branches trouvée par hasard alors qu’il s’apprête à ouvrir sa maison de couture qu’il érigera en porte-bonheur. Ce destin constellé a inspiré les nouveaux garde-temps Dior VIII Montaigne Clair de Lune qui dévoilent, chacun sur leur cadran, trois phases de la lune : ascendante, pleine et descendante.

En hommage au savoir-faire des ateliers haute couture de la Maison, des fils d’or, minutieusement disposés, et des diamants, sélectionnés pour leur éclat, figurent un ciel étoilé. Pour reproduire ces temps lunaires, il a fallu plus de 4 110 fils d’or pour la pleine lune, 2 875 pour la demi-lune et 2 078 pour le quartier de lune. Pour faire écho à ce cadran délicat, un boîtier en or jaune de 36 millimètres de diamètre a été gravé d’une lune à l’arrière, ainsi que de son numéro unique. Autres précieux détails : la glace est bombée pour évoquer la lentille d’un télescope et l’aiguille des secondes a été imaginée avec un cercle doré à son extrémité, figurant un astre qui graviterait autour de la lune. La lunette est quant à elle entièrement sertie de soixante-douze diamants ronds, et la boucle du bracelet en alligator noir, de dix-huit diamants ronds.