De nombreux films mettant en scène 007 ont été tournés dans la capitale. Avant de vous conter notre balade nocturne aux commandes de l’Aston Martin Vantage V8, revenons sur les traces laissées dans Paris par le personnage créé par Ian Fleming.

Assis sur le siège passager, l’une de nos James Bond Girls françaises symboliserait parfaitement la ville de l’amour : Claudine Auger en 1965 (Opération Tonnerre – Thunderball), Carole Bouquet en 1981 (Rien que pour vos yeux – For Your Eyes Only), Sophie Marceau en 1999 (Le monde ne suffit pas – The World Is Not Enough), Eva Green en 2006 (Casino Royale), Olga Kurylenko en 2008 (Quantum of Solace), Bérénice Marlohe en 2012 (Skyfall), Léa Seydoux en 2015 (Spectre).

Place au présent et à notre rêve éveillé d’agent secret à Paris avec la Vantage V8.

Sous le pont de la Tournelle, les voûtes en pierres contrastent à merveille avec les lignes tendues de la dernière génération de l’Aston Martin Vantage qui, rappelons-le, a été dévoilée en novembre 2017. La luminosité offerte pas les éclairages pourrait rappeler celle d’un studio photo. On imagine très bien ici une entrée secrète vers le nouveau centre névralgique du MI6 où Q livrerait la Vantage à Bond. Nous n’avons pas choisi cet ouvrage architectural par hasard.

Dans ce même esprit, on se souvient des voûtes du métro londonien vues dans Meurs Un Autre Jour (Die Another Day) Dans ce dernier James Bond avec Pierce Brosnan, sorti en 2002, Q emmène Bond dans le métro londonien pour lui remettre les clés de l’Aston Martin Vanquish. Les initiés de l’univers des James Bond se souviendront que la Vanquish possède la capacité de devenir invisible. La lettre « Q » est également celle du département de personnalisation du constructeur britannique : Q by Aston Martin.

A nos yeux, les plus belles prises de vue de poursuite dans Paris son celles de Claude Lelouch dans le court-métrage C’était un rendez-vous (1976). Filmées en une prise, elles sont, 42 ans après, toujours aussi magique à admirer. En clin d’œil au réalisateur de génie, ce n’est pas un hasard si nous avons immortalisé en photo la Vantage V8 proche de la majestueuse basilique du Sacré-Cœur puis, aux abords du Louvre. De nuit, ces monuments génèrent une atmosphère spectaculaire.

Devant Le musée, posons-nous quelques lignes afin d’évoquer le style de l’Aston Martin Vantage. Son design est élancé, presque « reptilien ». Entre la fluidité de ses lignes et son rendu bestial obtenu, entre autres, grâce à des ailes arrière imposantes et de savants creux, la Vantage V8 dégage un dynamisme finalement assez épuré.

A l’arrière, sa signature lumineuse nous apparait comme provocatrice. Elle assoit visuellement la puissance de l’auto. La Vantage est une voiture iconique, un emblème de la performance high-tech. L’omniprésence de la fibre de carbone en est le parfait exemple. La Vantage V8 semble alors être visuellement irrésistiblement attirée par Le Louvre alors que les pavés de Montmartre nous apparaissent, non pas comme un tapis rouge, mais comme une force qui pourrait prendre vie sous ses roues.

Une Aston Martin n’est pas une voiture comme les autres. L’habitacle de la Vantage V8 génère des sensations que l’on qualifie d’historiques tant la marque de Gaydon traverse les âges entre tradition et modernité. La Vantage propose une ambiance intérieure au confort exceptionnel. De quoi arpenter les rues de la capitale à faible allure pour jouir de fantastiques prestations ou, s’arracher à la nuit, le train arrière glissant, en accélérant. Il ne faut que 3,7 s pour la Supecar britannique sur l’exercice du 0 à 100 km/h. Des pavés, les 510 chevaux issus du V8 4.0 l biturbo n’en ont fait qu’une bouchée lors de notre balade nocturne. Les 685 Nm de couple de la Vantage se font ressentir à chaque accélération.